ANDREW McCARTHY : La Cour suprême permet de qualifier Trump de criminel. Mais il y a un piège

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Une Cour suprême profondément divisée a décidé d’autoriser l’État de New York à qualifier le président élu Trump de criminel condamné dix jours avant son entrée à la Maison Blanche.

Avec le juge en chef John Roberts et la juge Amy Coney Barrett nommée par Trump rejoignant les trois progressistes de la Cour (les juges Sonia Sotomayor, Elena Kagan et Ketanji Brown Jackson), la Cour a donné le feu vert à la détermination du juge de l’État de New York Juan Merchan à condamner le président. -élection à 9h30 le vendredi matin. Cette sentence fait suite aux verdicts de culpabilité rendus par un jury en mai sur 34 chefs d’accusation de falsification de dossiers commerciaux portés par le procureur démocrate progressiste élu de Manhattan, Alvin Bragg.

Quatre juges conservateurs (Clarence Thomas, Samuel Alito et Neil Gorsuch et Brett Kavanaugh, nommés par Trump) ont indiqué qu’ils auraient accédé à la demande de Trump de reporter le prononcé de la peine.

LA COUR SUPRÊME REJETTE LA TENTATIVE DE TRUMP D’ARRÊTER LA SENTENCE DE NEW YORK CONTRE TRUMP

dans un décision La semaine dernière, en rejetant les requêtes postérieures au procès de Trump et en fixant la détermination de la peine à vendredi matin, le juge Merchan a indiqué qu’il condamnerait Trump à une libération inconditionnelle, ce qui signifie pas de peine de prison, pas de libération conditionnelle, pas d’amende et aucune surveillance d’aucune sorte après la peine. Merchan a également statué que Trump n’aurait pas besoin d’assister au prononcé de la peine en personne.

Le président élu a annoncé qu’il ne se présenterait pas vendredi au tribunal inférieur de Manhattan. Il assistera au prononcé de la peine à distance afin de minimiser le fardeau que la procédure imposera lors de la transition en cours vers le jour de l’investiture le 20 janvier.

TRUMP DIT QU’IL RESPECTE LA DÉCISION DE LA COUR SUPRÊME DE REFUSER SA DEMANDE D’ARRÊT DE LA PEINE ET PROMET DE FAIRE APPEL

La majorité a expliqué que la décision ne causerait pas de préjudice significatif à Trump, pour deux raisons principales. Premièrement, la Cour ne s’est pas prononcée sur le bien-fondé de l’argument de Trump selon lequel l’immunité présidentielle contre les poursuites pénales avait été violée par la présentation par le procureur au procès des preuves de ses actes présidentiels officiels. Autrement dit, Trump pourra toujours soulever sa demande d’immunité en appel, ainsi que plusieurs autres allégations d’erreur significative dans le processus. L’appel ne peut pas avoir lieu tant que Trump n’est pas reconnu coupable et qu’une peine n’est pas prononcée, la décision ouvrira donc la voie à ce processus.

Deuxièmement, la Cour a effectivement enfermé Merchan dans son inclination déclarée à condamner Trump à une peine de probation. En théorie, le signalement de cette intention par Merchan (dans un avis rédigé la semaine dernière) n’était pas contraignant ; Techniquement, un juge n’est pas censé décider de la peine avant d’avoir entendu les parties dans le processus de détermination de la peine, ce qui n’aura lieu que vendredi matin.

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Cependant, la conclusion de la majorité de la Cour suprême selon laquelle la peine représente un fardeau minime pour la transition présidentielle de Trump dépend de l’assurance de Merchan selon laquelle il penchait pour une peine sans prison ni libération conditionnelle. Si Merchan changeait d’avis à ce moment-là et imposait une peine de prison, la Haute Cour considérerait cela comme une trahison. Donc, dans la pratique, Merchan n’a d’autre choix que de faire ce qu’il a indiqué qu’il ferait.

La majorité s’est également appuyée sur la directive de Merchan selon laquelle Trump n’avait pas besoin d’assister au prononcé de la peine en personne, ce qui signifie que la procédure devait être brève et peu intrusive sur la conduite de la transition présidentielle par Trump.

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Il n’y a pas d’opinion dissidente de la part des quatre juges conservateurs. Vraisemblablement, ils ont conclu que les mêmes considérations qui ont conduit la Cour à reconnaître l’immunité présidentielle dans son arrêt de juillet (en Trump contre les États-Unis) a également soutenu l’immunité des présidents élus – principalement l’impératif que le président ne se laisse pas distraire par l’anxiété et la stigmatisation qui accompagnent les procédures pénales lorsqu’il s’acquitte de ses responsabilités constitutionnelles incomparables. Dans les transitions présidentielles, comme le Congrès l’a souligné par voie législative, un président élu se prépare à assumer ces responsabilités dès les premières heures d’une nouvelle administration.

Une fois que le président élu aura épuisé ses moyens pour éviter la condamnation, il procédera vendredi matin. Comme plusieurs analystes, j’ai donné mon avis qu’il existe de multiples raisons d’annuler les condamnations de Trump en appel. La procédure d’appel ne peut commencer tant que la peine n’a pas été imposée.

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